Changer : choisir la peur ou le courage - 3 exercices/outils pour embrasser le changement.

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Commençons par définir
Déjà redéfinir « changer ».
Pour moi, il y a 2 types de changements « majeurs » à traverser dans une vie :
Le changement non choisi (je fais exprès de ne pas dire subi, car on peut aussi faire des choix par rapport à ce type de changement, apaiser colère et tristesse, le thème de la semaine prochaine pourra permettre d’éclairer plutôt cette partie là) : changement brutal (un décès, un déménagement non choisi, une séparation, un licenciement, …) ou un changement « inhérent » à l’essence même de notre vie : les enfants qui partent de la maison, un nouveau boulot, une grossesse, la ménopause … Il y aurait beaucoup de choses à dire par rapport à ces changements aussi, parfois perçus comme positifs par la société ou notre entourage mais qui ne sont pas toujours confortables à traverser.
Le changement choisi ou que l’on a envie de choisir sans parvenir à le faire vraiment : on est là au cœur du sujet de cette semaine : créer sa boîte, perdre du poids, rompre ou entamer une nouvelle relation, être plus social, moins social, etc
Par rapport à ce changement que l’on a envie de choisir. On a envie, on pose même parfois des actions pour y aller, on sait que c’est positif pour nous et pourtant, on n’y arrive pas … ou pas toujours ou pas autant qu’on voudrait, ou pas aussi vite …
L’idée aujourd’hui n’est pas de chercher à remplacer un travail personnel qui nécessite ou pourrait nécessiter un suivi ou accompagnement personnalisé avec un professionnel compétent. Aujourd’hui je viens vous proposer des astuces ou exercices issus de la psychologie positives qui peuvent vous aider à dépasser certains blocages ou certaines croyances qui vous empêchent …
3 exercices précisément. Vous pouvez choisir d’en faire un seul, ou les 3, de les faire le même jour ou de laisser infuser chacun en vous donnant une semaine pour chaque. Libre à vous.
Je vais également associer des huiles essentielles pour chacun des exercices proposés. Bien sûr, les deux sont tout à fait dissociable. Et vous pouvez faire les exercices sans. Mais les huiles apparaissent ici comme un fabuleux outil complémentaire car elles ont un vrai pouvoir d’influence sur notre cerveau, conscient et inconscient.
Comment fonctionnent les huiles ?

Les experts s'accordent sur le fait que l'efficacité des huiles essentielles vient de 3 aspects, c'est ce que l'on nomme la ternaire aromatique :
Une activité biochimique : c'est l'activité la plus étudiée et la mieux connue : certaines molécules composant les huiles essentielles agissent sur des récepteurs biochimiques de l'organisme, entrainant une action thérapeutique.
Une activité énergétique : les huiles essentielles ont un potentiel électronique. Cela ne veut pas dire qu'elles sont capables de réparer votre smartphone, mais qu'elles ont un excès ou un déficit d'électrons et ont donc la capacité d'en échanger avec le milieu dans lequel elles sont.
Une activité informationnelle : le parfum des HE (leur arôme) est transmis au cerveau sous forme d'influx nerveux. Certains arômes peuvent entrainer des réactions psychologiques, voire physiologiques importantes.
Potentiel d’efficacité super intéressant : attention toutefois, l’huile ne fera jamais « tout », on ne peut pas imaginer sentir une huile essentielle et changer du jour au lendemain juste par cette action… De la même façon, il n’y a pas de crainte à avoir : aucune huile n’aura le pouvoir de vous faire agir contre votre volonté 😉
Mais on en revient bien-sûr toujours à la nécessité de travailler avec des huiles dont on est sûr de la qualité.
Voilà pour la longue introduction. Passons maintenant au concret.
Nous sommes donc aujourd’hui dans la posture de je veux changer mais je n’y arrive pas, ça ne marche pas comme je voudrais, je n’ose pas vraiment y aller.
Les 3 exercices que je vous propose sont tous dans la même optique : mieux se connaître pour dépasser ses blocages ou ses croyances. Pour rappel, les croyances limitantes qui vous bloquent peuvent être aujourd’hui ont eu une bonne raison d’être : elles vous ont permis d’en arriver là aujourd’hui, elles sont donc à écouter, pas à fuir, mais ça on le développe plutôt dans la semaine 3 :
Exercice numéro 1 : connaître et cibler ses forces

- le questionnaire des forces [lien ici]-
Souvent la peur que l’on a face au changement, c’est de ne plus se reconnaître soit même … Or déjà si l’intention de changer est là, c’est que le possible fait déjà partie de vous ! Je vous propose de changer … votre perception du changement ! Changer ce n’est pas forcément aller prendre quelque chose d’extérieur à soi mais plutôt de choisir d’éclairer une autre facette de notre « soi », déjà présente mais peu utilisée.
Une huile essentielle de l’ancrage à diffuser pendant que vous répondez au questionnaire peut vous permettre de faire l’exercice en étant connectée à vos racines. Balance, mélange de l'ancrage de Doterra ou les huiles de résine comme Encens ou Copaïba.
BERGAMOTE : l’huile de l’auto-acceptation/ secouer son flacon sur son index, on appui en haut des oreilles au niveau du cartilage 15 secondes, à sentir. Elle permet de s’auto-harmoniser. S’aimer, avoir confiance en soi.
Numéro 2 : Débusquer ses croyances limitantes.

« Prendre conscience = 70% du travail fait ». Donc ça ne fait pas tout, mais ça aide à avancer sur le chemin de ce qui est plus juste pour soi…
Etape 1 : choisir/définir un objectif non atteint à ce jour, quelque chose vers lequel vous souhaiter aller depuis longtemps mais sur lequel vous sentez une résistance.
Puis l’insérer dans les 4 questions suivantes :
1) Si je ne suis pas assez … {RICHE/MINCE/EPANOUIE/SOCIABLE…}, que ce passerait-il si j’étais TROP … ?
2) Jusqu’à présent je n’ai pas pu atteindre mon objectif car … [à compléter sans excuses extérieures]
3) Les personnes qui ont ce que je désire sont ….
4) Atteindre mon objectif m’obligerait à …
Franckinsens/Encens : l’huile de la vérité peut accompagner l’exercice car elle vous accompagne sur le chemin d’être franc avec soi-même.
Numéro 3 : Le « faire comme si ».

Pour une heure, une journée ou une semaine, on expérimente une nouvelle facette de nous que l’on souhaite désormais mettre en avant dans sa vie. On va faire comme si. L’avantage de cet exercice c’est l’idée du court laps de temps. On n’impose pas à son cerveau un changement sur le long terme. Il est du coup plus facile de traverser ses propres freins parce que l’inconscient ne se sent pas attaquer. Grosso modo le dialogue interne qui peut se jouer alors serait du style entre l’inconscient qui bloque et le conscient : bah ok, laissons la s’amuser pour voir, on ne craint pas grand-chose.
Le faire comme si est parfois plus facile à mettre en application quand il s’agit de faire comme si sur un comportement : je fais comme si c’était facile et naturel de faire des lives est un exercice plus facile à mettre en œuvre que je fais comme si j’avais atteint le poids idéal. Le premier est une action que je peux vivre immédiatement. Le second est plus centré sur de l’émotionnel : changer de poids, dépasser son stress, sa capacité à tout voir en négatif, à culpabiliser … cela demande une mise en perspective émotionnelle différée, mais cela peut marcher aussi : il faut alors focaliser le faire comme si sur comment j’agirais, je m’habillerais, je me regarderais si j’avais le corps dans lequel je me sens bien : et le pratiquer le ressentir des maintenant avec votre corps tel qu’il est aujourd’hui.
Si votre « faire comme si » implique une prise de parole en public (ou une vidéo live sur vos réseaux) : huile de la parole : la menthe verte ou spearmint : c’est l’huile de la confiance pour parler devant les autres, elle renforce notre clarté et surtout la clarté de notre discours, elle nous aide à transformer notre intention en mots clairs. A sentir, diffuser ou encore massage gorge.
Si votre faire comme si implique une dimension relationnelle et que l’on a besoin de se sentir rassurée, protégée : Romarin : créer un cocon énergétique autour de soi, nous invite à aller chercher au plus profond de nous, idéal pour les enseignants, transmetteur, mais aussi pour se protéger face à des personnalités « toxiques » ou perçues comme telles.
Si votre faire comme si implique une mise en perspective émotionnelle : amour de soi, partenariat avec soi-même NEROLI A appliquer le long de ses bras. Idéal pour pratiquer l’empathie avec soi même (en massage sur le bas ventre ou au niveau du cœur aussi). Cette huile marche aussi très bien pour le partenariat aussi avec l’autre (couple, relation professionnelle, amicale, etc…)
Bien sûr : les utilisations des huiles présentées aujourd’hui peuvent se recouper, se combiner. Elles sont à tester pour savoir celles qui vous parlent le plus à vous.
Ce que j’aime beaucoup chez Doterra ce sont aussi les synergies, le blend qui permettent une action profonde grâce à la combinaison déjà prête de plusieurs huiles pour une pertinence et efficacité encore plus grande.
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